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¿Te falta inspiración?
Ven a descubrir las líneas icónicas de Le Tanneur.

Il se dit que l’amour peut prendre de nombreuses formes et possède autant de définitions. L’amour vient également avec son lot de questions. Comment peut-il être à la fois si beau et si terrifiant ? Si complexe et si évident ? En imaginant notre capsule Love is Love, nous avons réalisé que l’amour est simplement à notre image : derrière les jolis mots se cachent toujours des histoires humaines. Rencontre avec les mannequins de cette campagne, qui vivent et construisent un amour à leur image.

Il se dit que l’amour peut prendre de nombreuses formes et possède autant de définitions. L’amour vient également avec son lot de questions. Comment peut-il être à la fois si beau et si terrifiant ? Si complexe et si évident ? En imaginant notre capsule Love is Love, nous avons réalisé que l’amour est simplement à notre image : derrière les jolis mots se cachent toujours des histoires humaines. Rencontre avec les mannequins de cette campagne, qui vivent et construisent un amour à leur image.

Il se dit que l’amour peut prendre de nombreuses formes et possède autant de définitions. L’amour vient également avec son lot de questions. Comment peut-il être à la fois si beau et si terrifiant ? Si complexe et si évident ? En imaginant notre capsule Love is Love, nous avons réalisé que l’amour est simplement à notre image : derrière les jolis mots se cachent toujours des histoires humaines. Rencontre avec les mannequins de cette campagne, qui vivent et construisent un amour à leur image.

 

Bienvenue à la maison

Paris, juin 2020. Il se trame quelque chose derrière la façade bleu roi du 2 bis rue Caumartin. Et pour cause. Notre nouveau repère de maître-maroquinier vient de voir le jour. Porte d’entrée passée, les arômes de cuir se mêlent au parfum du bois de chêne. Tous les sens sont sollicités. La lumière chaleureuse invite même à se poser pour bouquiner. Plus qu’une nouvelle boutique, ce lieu est un nouveau concept.





En collaboration avec le studio Be-Pole et l’architecte Antoine Ricardou, nous avons imaginé cette nouvelle boutique comme une porte d’entrée sur notre univers et notre savoir-faire centenaire. Tables d’atelier, mobilier en chêne, assises couvertes de velours, et sol en Terrazzo, le tout ponctué de rappels de bleu. Bienvenue dans l’antre des belles matières et de la maroquinerie bien finie. Notez les meubles inspirés par les bouquinistes de Seine. Un clin d’œil à Paris, cette ville qui nous est chère pour y avoir remporté le prix d’argent à l’exposition universelle de 1900. Mais ce n’est pas tout.




Sold out


Celio et Romy

Celio et Romy

Dites-nous quelques mots sur votre couple

Dites-nous quelques mots sur votre couple

Celio et Romy – « Nous sommes un couple créatif. Romy est photographe, réalisatrice, actrice et performeuse et je suis modèle photo engagée. »

 

« Nous sommes un couple créatif. Romy est photographe, réalisatrice, actrice et performeuse et je suis modèle photo engagée. »

Est-ce que l’amour tient une place particulière dans vos vies ?

« Que ce soit l’amour amoureux ou amical, on ne pense qu’à l’amour. Ce sentiment imprègne toutes les sphères de nos vies, peut-être un peu trop parfois. À quoi bon vivre sans amour ? c’est le moteur de l’existence, aimer l’autre et s’aimer soi. »

Celio et Romy

Dites-nous quelques mots sur votre couple

« Nous sommes un couple créatif. Romy est photographe, réalisatrice, actrice et performeuse et je suis modèle photo engagée. »

L’artiste est née à Arles, a grandi en Provence, avant de partir pour Paris, puis Londres, avant de revenir en France pour ouvrir sa propre imprimerie. Elle s’intéresse alors à l’illustration d’intérieur, peint et dessine du mobilier qu’elle imagine prendre vie. « J’ai rapidement eu envie de continuer avec la conception de véritables objets » et la voici qui commence à mêler ses talents pour la broderie et le dessin. De retour dans son Sud natal, Sarah s’active au fond de son atelier.

Vous avez participé à notre dernière campagne Love is Love, qu’en avez-vous pensé ?

Vous avez participé à notre dernière campagne Love is Love, qu’en avez-vous pensé ?

« Que ce soit l’amour amoureux ou amical, on ne pense qu’à l’amour. Ce sentiment imprègne toutes les sphères de nos vies, peut-être un peu trop parfois. À quoi bon vivre sans amour ? c’est le moteur de l’existence, aimer l’autre et s’aimer soi. »

« L’amour, c’est un sujet très large et un sentiment très complexe. Aujourd’hui nous voulons offrir et faire connaître autre chose, pouvoir dire qu’on est tous·tes capables d’aimer et d’être aimé·e·s. J’ai de multiples origines et j’ai grandi au sein de différentes cultures. Je pense que représenter cette diversité est important à notre époque et la campagne Love is Love nous a permis de le faire de la meilleure des manières. »

C'est quoi la France pour toi ?

Pour moi la France, c’est la diversité des paysages entre le nord, le sud, l’est et l’ouest. En trois heures entre Paris et Marseille, on change trois fois de pays. Il y a des différences sociales, culturelles, esthétiques et c’est cela se retrouve jusque dans les savoir-faire. Il y en a déjà un nombre impressionnant rien qu’en architecture. Et cette énorme diversité des savoir-faire accessibles en très peu de temps. Je ne pourrai pas ancrer mon métier géographiquement, aujourd’hui je travaille beaucoup autour de la Méditerranée, mais ça pourrait changer demain.

Vous avez participé à notre dernière campagne Love is Love, qu’en avez-vous pensé ?

« L’amour, c’est un sujet très large et un sentiment très complexe. Aujourd’hui nous voulons offrir et faire connaître autre chose, pouvoir dire qu’on est tous·tes capables d’aimer et d’être aimé·e·s. J’ai de multiples origines et j’ai grandi au sein de différentes cultures. Je pense que représenter cette diversité est important à notre époque et la campagne Love is Love nous a permis de le faire de la meilleure des manières. »

 



Quels liens distingues-tu entre l’architecture et la maroquinerie ?

Il y a avant tout le travail sur la matérialité. L’aspect brut d’une matière première qui doit évoluer. Tel un immeuble, le cuir est un objet qui est amené à évoluer, se transformer avec le temps. Il se patine. Un bon blouson de cuir a la peau usée. C’est pareil pour une pierre ou la peinture d’une vieille voiture. C’est le temps, les rides qui donnent du charme à une pièce. Un peu à l’inverse du plastique que l’on oublie bien vite.

 

L’artiste est née à Arles, a grandi en Provence, avant de partir pour Paris, puis Londres, avant de revenir en France pour ouvrir sa propre imprimerie. Elle s’intéresse alors à l’illustration d’intérieur, peint et dessine du mobilier qu’elle imagine prendre vie. « J’ai rapidement eu envie de continuer avec la conception de véritables objets » et la voici qui commence à mêler ses talents pour la broderie et le dessin. De retour dans son Sud natal, Sarah s’active au fond de son atelier.

Est-ce que l’amour tient une place particulière dans vos vies ?

« L’amour, c’est un sujet très large et un sentiment très complexe. Aujourd’hui nous voulons offrir et faire connaître autre chose, pouvoir dire qu’on est tous·tes capables d’aimer et d’être aimé·e·s. J’ai de multiples origines et j’ai grandi au sein de différentes cultures. Je pense que représenter cette diversité est important à notre époque et la campagne Love is Love nous a permis de le faire de la meilleure des manières. »

Quelle est votre définition de l’amour ?

« L’amour rime avec engagement et profondeur, avec une forte attention portée à l’autre, un soutien permanent. À tout cela se mêle beaucoup de doute, d’inquiétude. L’amour est un mélange entre le don et la connaissance de soi, pour mettre les bonnes limites et se donner sincèrement. Quand il n’est pas sincère, l’amour empêche d’avancer. »


Pourquoi faut-il dire oui à une de tes nappes ?


Pourquoi faut-il dire oui à une de tes nappes ?

Axelle et Rayan

Dites-nous quelques mots sur votre couple

« Nous sommes un couple très branché mode, c’est notre métier et notre passion. Dans ce milieu, il y a une place pour les nouvelles idées, les nouveaux talents. La mode c’est la famille, les amis, les rencontres, c’est notre vie. »

Est-ce que l’amour tient une place particulière dans vos vies ?

« Oui car nous sommes amoureux et cela nous évoque forcément des choses qui se retrouvent dans nos inspirations, dans nos métiers. C’est bien connu, l’amour change la vision de la vie, la créativité, nous unis et c’est un sujet très important dans la mode. »

Vous avez participé à notre dernière campagne Love is Love, qu’en avez-vous pensé ?

« C’était super, nous étions tous comme dans un cocon d’amour, de respect, de délicatesse. Ça nous a permis d’aborder la chose sereinement, il y avait beaucoup de bienveillance même si on ne se connaissait pas. On était un peu comme une famille. »

Quelle est votre définition de l’amour ?

« C’est quand tu rencontres ton ami, ton ennemi, ton meilleur ami, ton amour. Cette personne qui incarne tout à la fois et qui éclipse beaucoup d’autres choses. Et du moment que cela fait battre les cœurs, c’est gagné. » conclut le couple.



Quelle est votre définition de l’amour ?

« L’amour rime avec engagement et profondeur, avec une forte attention portée à l’autre, un soutien permanent. À tout cela se mêle beaucoup de doute, d’inquiétude. L’amour est un mélange entre le don et la connaissance de soi, pour mettre les bonnes limites et se donner sincèrement. Quand il n’est pas sincère, l’amour empêche d’avancer. »

Il y a avant tout le travail sur la matérialité. L’aspect brut d’une matière première qui doit évoluer. Tel un immeuble, le cuir est un objet qui est amené à évoluer, se transformer avec le temps. Il se patine. Un bon blouson de cuir a la peau usée. C’est pareil pour une pierre ou la peinture d’une vieille voiture. C’est le temps, les rides qui donnent du charme à une pièce. Un peu à l’inverse du plastique que l’on oublie bien vite.

 


Axelle et Rayan

Axelle et Rayan

Dites-nous quelques mots sur votre couple

« Nous sommes un couple très branché mode, c’est notre métier et notre passion. Dans ce milieu, il y a une place pour les nouvelles idées, les nouveaux talents. La mode c’est la famille, les amis, les rencontres, c’est notre vie. »

Est-ce que l’amour tient une place particulière dans vos vies ?

« Oui car nous sommes amoureux et cela nous évoque forcément des choses qui se retrouvent dans nos inspirations, dans nos métiers. C’est bien connu, l’amour change la vision de la vie, la créativité, nous unis et c’est un sujet très important dans la mode. »

L’artiste est née à Arles, a grandi en Provence, avant de partir pour Paris, puis Londres, avant de revenir en France pour ouvrir sa propre imprimerie. Elle s’intéresse alors à l’illustration d’intérieur, peint et dessine du mobilier qu’elle imagine prendre vie. « J’ai rapidement eu envie de continuer avec la conception de véritables objets » et la voici qui commence à mêler ses talents pour la broderie et le dessin. De retour dans son Sud natal, Sarah s’active au fond de son atelier.

Est-ce que l’amour tient une place particulière dans vos vies ?

« Que ce soit l’amour amoureux ou amical, on ne pense qu’à l’amour. Ce sentiment imprègne toutes les sphères de nos vies, peut-être un peu trop parfois. À quoi bon vivre sans amour ? c’est le moteur de l’existence, aimer l’autre et s’aimer soi. »

C'est quoi la France pour toi ?

Pour moi la France, c’est la diversité des paysages entre le nord, le sud, l’est et l’ouest. En trois heures entre Paris et Marseille, on change trois fois de pays. Il y a des différences sociales, culturelles, esthétiques et c’est cela se retrouve jusque dans les savoir-faire. Il y en a déjà un nombre impressionnant rien qu’en architecture. Et cette énorme diversité des savoir-faire accessibles en très peu de temps. Je ne pourrai pas ancrer mon métier géographiquement, aujourd’hui je travaille beaucoup autour de la Méditerranée, mais ça pourrait changer demain.

Vous avez participé à notre dernière campagne Love is Love, qu’en avez-vous pensé ?

« C’était super, nous étions tous comme dans un cocon d’amour, de respect, de délicatesse. Ça nous a permis d’aborder la chose sereinement, il y avait beaucoup de bienveillance même si on ne se connaissait pas. On était un peu comme une famille. »

 
 



Quels liens distingues-tu entre l’architecture et la maroquinerie ?

Il y a avant tout le travail sur la matérialité. L’aspect brut d’une matière première qui doit évoluer. Tel un immeuble, le cuir est un objet qui est amené à évoluer, se transformer avec le temps. Il se patine. Un bon blouson de cuir a la peau usée. C’est pareil pour une pierre ou la peinture d’une vieille voiture. C’est le temps, les rides qui donnent du charme à une pièce. Un peu à l’inverse du plastique que l’on oublie bien vite.

 

L’artiste est née à Arles, a grandi en Provence, avant de partir pour Paris, puis Londres, avant de revenir en France pour ouvrir sa propre imprimerie. Elle s’intéresse alors à l’illustration d’intérieur, peint et dessine du mobilier qu’elle imagine prendre vie. « J’ai rapidement eu envie de continuer avec la conception de véritables objets » et la voici qui commence à mêler ses talents pour la broderie et le dessin. De retour dans son Sud natal, Sarah s’active au fond de son atelier.

Quelle est votre définition de l’amour ?

« C’est quand tu rencontres ton ami, ton ennemi, ton meilleur ami, ton amour. Cette personne qui incarne tout à la fois et qui éclipse beaucoup d’autres choses. Et du moment que cela fait battre les cœurs, c’est gagné. » conclut le couple.


Emmanuel et Éric

Emmanuel et Éric

Dites-nous quelques mots sur votre couple

« Nous sommes des citoyens du monde, amoureux de la vie et portés sur le design, l’art et attentifs à la beauté qui nous entoure. Nous aimons aussi les voyages et découvrir de nouvelles cultures. »

Est-ce que l’amour tient une place particulière dans vos vies ?

« Nous avons de nombreux centres d’intérêt et l’amour est l’un des principaux. D’une manière un peu inconsciente, l’amour fait prendre des décisions qui nous permettent d’avancer et de nous construire. »

L’artiste est née à Arles, a grandi en Provence, avant de partir pour Paris, puis Londres, avant de revenir en France pour ouvrir sa propre imprimerie. Elle s’intéresse alors à l’illustration d’intérieur, peint et dessine du mobilier qu’elle imagine prendre vie. « J’ai rapidement eu envie de continuer avec la conception de véritables objets » et la voici qui commence à mêler ses talents pour la broderie et le dessin. De retour dans son Sud natal, Sarah s’active au fond de son atelier.

Vous avez participé à notre dernière campagne Love is Love, qu’en avez-vous pensé ?

« Que ce soit l’amour amoureux ou amical, on ne pense qu’à l’amour. Ce sentiment imprègne toutes les sphères de nos vies, peut-être un peu trop parfois. À quoi bon vivre sans amour ? c’est le moteur de l’existence, aimer l’autre et s’aimer soi. »

« Dans cette campagne, il y a la notion de respect pour les personnes qui ne sont pas dans les normes. Habituellement la différence fait souvent assez peur, on a tendance à la repousser, à la discriminer. À travers Love is Love, nous avions envie de montrer qu’il est possible de bien vivre sa différence, car nous n’en souffrons pas. »

Quelle est votre définition de l’amour ?

« Pour nous il n’y a pas de définition justement. Ça passe par de nombreuses choses, comme l’attention, l’attachement, l’envie de faire du bien, de partager des moments et de les multiplier, de se sentir vivant et de pouvoir se projeter dans le futur. »


Pourquoi faut-il dire oui à une de tes nappes ?

Emmanuel et Éric

Dites-nous quelques mots sur votre couple

« Nous sommes des citoyens du monde, amoureux de la vie et portés sur le design, l’art et attentifs à la beauté qui nous entoure. Nous aimons aussi les voyages et découvrir de nouvelles cultures. »

Est-ce que l’amour tient une place particulière dans vos vies ?

« Nous avons de nombreux centres d’intérêt et l’amour est l’un des principaux. D’une manière un peu inconsciente, l’amour fait prendre des décisions qui nous permettent d’avancer et de nous construire. »

C'est quoi la France pour toi ?

Pour moi la France, c’est la diversité des paysages entre le nord, le sud, l’est et l’ouest. En trois heures entre Paris et Marseille, on change trois fois de pays. Il y a des différences sociales, culturelles, esthétiques et c’est cela se retrouve jusque dans les savoir-faire. Il y en a déjà un nombre impressionnant rien qu’en architecture. Et cette énorme diversité des savoir-faire accessibles en très peu de temps. Je ne pourrai pas ancrer mon métier géographiquement, aujourd’hui je travaille beaucoup autour de la Méditerranée, mais ça pourrait changer demain.

Vous avez participé à notre dernière campagne Love is Love, qu’en avez-vous pensé ?

« Dans cette campagne, il y a la notion de respect pour les personnes qui ne sont pas dans les normes. Habituellement la différence fait souvent assez peur, on a tendance à la repousser, à la discriminer. À travers Love is Love, nous avions envie de montrer qu’il est possible de bien vivre sa différence, car nous n’en souffrons pas. »



Quels liens distingues-tu entre l’architecture et la maroquinerie ?

Il y a avant tout le travail sur la matérialité. L’aspect brut d’une matière première qui doit évoluer. Tel un immeuble, le cuir est un objet qui est amené à évoluer, se transformer avec le temps. Il se patine. Un bon blouson de cuir a la peau usée. C’est pareil pour une pierre ou la peinture d’une vieille voiture. C’est le temps, les rides qui donnent du charme à une pièce. Un peu à l’inverse du plastique que l’on oublie bien vite.

 

L’artiste est née à Arles, a grandi en Provence, avant de partir pour Paris, puis Londres, avant de revenir en France pour ouvrir sa propre imprimerie. Elle s’intéresse alors à l’illustration d’intérieur, peint et dessine du mobilier qu’elle imagine prendre vie. « J’ai rapidement eu envie de continuer avec la conception de véritables objets » et la voici qui commence à mêler ses talents pour la broderie et le dessin. De retour dans son Sud natal, Sarah s’active au fond de son atelier.


Quelle est votre définition de l’amour ?

« Pour nous il n’y a pas de définition justement. Ça passe par de nombreuses choses, comme l’attention, l’attachement, l’envie de faire du bien, de partager des moments et de les multiplier, de se sentir vivant et de pouvoir se projeter dans le futur. »


Pourrais-tu nous rappeler ton métier ?

Pierre-Louis Leclercq - Je suis architecte, mais aussi consulté en tant que directeur artistique et photographe. J’apporte mon regard sur les créations ou les services de diverses maisons de mode. Je n’arrive pas à me définir avec une seule casquette. Je dirais que je suis plus simplement un créatif.

Vous avez participé à notre dernière campagne Love is Love, qu’en avez-vous pensé ?

« Dans cette campagne, il y a la notion de respect pour les personnes qui ne sont pas dans les normes. Habituellement la différence fait souvent assez peur, on a tendance à la repousser, à la discriminer. À travers Love is Love, nous avions envie de montrer qu’il est possible de bien vivre sa différence, car nous n’en souffrons pas. »

Quelle est votre définition de l’amour ?

« Pour nous il n’y a pas de définition justement. Ça passe par de nombreuses choses, comme l’attention, l’attachement, l’envie de faire du bien, de partager des moments et de les multiplier, de se sentir vivant et de pouvoir se projeter dans le futur. »



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